Actuellement, nous payons l’absence pendant plus de 30 ans de tout projet politique envers l’immigration importée et nous assistons à un horrible clientélisme électoral pour arriver à en sortir une. Les politicards cherchent uniquement des alliés, du rassemblement autour d’un projet qui serait à la fois riquiqui et droitier afin de récolter une majorité à l’Assemblée nationale. Quant à l’intérêt général à long terme du pays, la question ne sera pas posée. Du reste et en outre, il n’a pas été affichée une analyse sérieuse de la situation actuelle aux yeux du grand public qui est donc abandonné à son ressenti, voire son ressentiment.
Quelle est la situation que, sans doute nos politicards n’ignorent pas mais ils ne veulent pas faire de vague ni fâcher les faux amis qui nous achètent des avions et des armes et nous vendent du pétrole ou du gaz, qui nous refient leurs radicaux, qui nous exportent leurs imams fondamentalistes et rigoristes ? Les vannes de l’entrée dans le pays sont ouvertes en grand et sans contrôle sérieux : immigration de travail, regroupement familial sans limites, mariages forcés à l’étranger pour acquérir la nationalité française, aberration de la double nationalité, flux de clandestins, droit d’asile inefficient, communautarisme galopant, ghettos et zones de non-droit ou territoires perdus de la République, expansion des trafics, notamment de drogue, pour financer les extrémistes religieux. Nous avons, après des flux, non régulés et importants depuis 30 ans, un stock de 6 à 8 millions de gens qui, au nom de leur religion, refusent les lois de la République et refusent de se comporter comme le veut notre culture laïque, neutre, pluraliste et tolérante, d’où des incivilités grandissantes (harcèlement d’homos, refus de serrer la main des femmes, contestation du contenu des enseignements d’histoire ou de sciences naturelles ou de philo, tags, paroles et actes antisémites, etc.). L’Europe est une passoire et a adopté des règles droitdel’hommistes hyper permissives et la France n’ayant plus de douane, ni de contrôle des passages aux frontières internes de l’UE (Schengen) doit largement laisser passer.
La question à résoudre ne relève pas du racisme, d’une « religiophobie », d’un refus ou d’un dénigrement des autres cultures. Elle est de sauver notre culture : supériorité et respect de la loi humaine, immanente, décidée par un parlement dans un Etat de droit, neutralité du politique par rapport à toute religion (laïcité), égalité femme/homme, droit à la différence (des genres, des pratiques sexuelles, des conceptions ou idées, des pratiques), liberté dans les espaces privés-domestiques ou civils-culturels, cohésion sociale assurée par le respect des valeurs civiques-politiques égales pour tous (liberté d’expression et de manifestation, primat de la concertation et de la négociation, respect des autres, tolérance des idées et projets alternatifs, recherche du consensus, respect de la loi légitime, libertés de religion et de culture limitées aux espaces domestiques et civils, hors espaces publics, etc.). Or, c’est tout cela qui est actuellement contesté de plus en plus par le stock issu de l’immigration et de plus en plus par les jeunes de 3ème et même 4ème génération.
Que faire, qu’édicter pour remonter la pente et sauver notre culture sociale et politique ? Il nous faut distinguer un fondamentalisme « d’atmosphère » (islamisme, traditionalisme catho, sectes évangéliques, popes radicaux manipulés par Poutine, Hébraïques orthodoxes, etc.). Celui-ci relève d’un stock d’immigrés, plus ou moins séparatistes, et de leurs descendants. Plus un fondamentalisme importé, c’est-à-dire un flux immigrationniste permanent qui vient alimenter et renouveler le communautarisme du stock.
A) Traiter Le stock ; comme le fondamentalisme islamique est le plus nombreux et actif, nous allons nous concentrer sur lui mais il ne faut pas oublier que les mesures proposées concernent tous les rigorismes cultuels et prosélytes. Les idées ci-dessous énoncées ne sont que partielles et dites à titre d’exemples.
• Faire respecter les principes de la laïcité, à savoir la neutralité de l’espace public-civique ; par exemple, dans les écoles, les bâtiments publics comme les Mairies ou les administrations, les casernes, etc. Ce qui suppose des règles légales formelles d’interdiction (voile, abaya, qamis, burquini, croix, Kipas, papillotes, grands chapeaux noirs, soutanes, barbes rituelles, prières dans la rue ou dans les locaux publics ou de travail, etc. et sanctions administratives et pénales effectives. Ne subventionner aucun culte ; attention aux entreprises dites culturelles qui camouflent une emprise cultuelle, ce qui implique une autorisation d’ouverture après contrôle sévère des instigateurs du projet, des financements, des communautés visées.
• Contrôler le contenu des prônes religieux ; ils doivent être enregistrés et une copie envoyée à un organe de vérification ad hoc. Itou pour tous les moyens de propagande et de prosélytisme comme les livres, les DVD, les médias, les réseaux sociaux, etc. Il n’y a pas de liberté pour les ennemis de la liberté.
• Refuser et empêcher toute ingérence extérieure : financements de structures, d’associations, manipulations d’imams ou de tout entrepreneur de religion quelle qu’elle soit, de propagande, emprise politique sur les ressortissants par les pays d’origine (voir actuellement les emprises de la Turquie, du Maroc, de l’Algérie, Russie, etc.).
• Sanctionner sévèrement toutes les incivilités (par exemple exclusion d’élèves mais sans les mettre dans un autre établissement, ce qui ne fait que déplacer le problème, licenciement de chauffeur refusant de s’assoir après une femme). Les plus graves, comme les actes racistes ou antisémites, sont traitées au pénal et font l’objet d’un renvoi dans le pays d’origine, et en cas de refus de celui-ci, d’envoi à Clipperton ou aux îles Kerguelen ou en terre Adélie, lieux sans gardiens avec liberté totale.
• Supprimer la binationalité car la France est fondée sur la citoyenneté ; le droit du sol est respecté mais à sa majorité la personne doit choisir sa nationalité. Voyez le cas actuel des binationaux en Israël : ils foutent le camp de France pour cause d’insécurité et ils reviennent pour la même raison, on est citoyen ou on ne l’est pas.
• Ne pas s’occuper de relations avec des prétendues instances représentatives des communautés religieuses. On se contente de contrôler les pratiques et de sanctionner les délictueuses ; L’Etat n’a pas à s’immiscer dans les religions et vice versa.
B) Limiter le flux migrationniste et le contrôler a priori
• Toute entrée sur le territoire exige au préalable un visa délivré par nos consulats dans les pays d’origine. Les visas de courte durée sont assortis de la pose d’un bracelet électronique afin de retrouver aisément tout candidat à la clandestinité ; si nous n’avons pas de consulat on s’entend avec un autre pays pour nous représenter. Naturellement, la douane et le contrôle des circulations à nos frontières (pas celles de l’espace Schengen) sont réactivés.
• On ne délivre, en dehors des simples visites, que des visas de travail pour un temps donné et limité ; après contrôle de l’existence d’un contrat de travail, d’une maîtrise suffisante de la langue, d’une connaissance minimale de notre culture et de nos institutions, d’un hébergement (c’est censé être fait mais cela ne l’est pas vraiment en réalité). Le salaire et les conditions d’emploi donnés dans le contrat doivent être conformes aux normes et usages du secteur afin d’éviter le dumping salarial cher à bien de nos prétendus entrepreneurs. L’inspection du travail redouble de surveillance sur ces travailleurs. Le regroupement familial est exclu des entrées sur le territoire sauf pour le conjoint avéré (à contrôler) et éventuellement des enfants (pas de parents, grands-parents, petits-enfants, frères et sœurs, cousins, cousines, etc. comme actuellement (cochonnerie du droitdel’hommisme européen favorable aux pays sans enfants comme la Doryphorie). Les mariages à l’étranger (souvent forcés, ce qui est à vérifier) ne sont pas reconnus en France. La nationalité française n’est ensuite accordée qu’au compte-gouttes.
• On contrôle, via un processus d’autorisation préalable, la nomination ou l’élection des responsables religieux. Les imams étrangers (notamment) sont renvoyés à l’expéditeur ; en cas de refus, envoi à Clipperton (magnifique atoll austral à 5 000 km de la terre la plus proche).
• Les clandestins attrapés sont renvoyés illico dans leur pays d’origine sans jouer au Schengen (renvoi dans le 1er pays où ils ont atterri). En cas de refus du pays d’origine, direction Clipperton. Il n’y a pas de régularisation de clandestins, surtout si la seule raison est d’ordre économique.
• Le droit d’asile est, évidemment, maintenu pour les victimes de régimes plus ou moins totalitaires, souvent d’obédience théocratique. Mais les moyens de l’OFPRA sont radicalement augmentés pour pouvoir contrôler rapidement la pertinence de toute admission à ce statut. La rétention administrative pour la vérification est limitée à deux mois. On admettra plus facilement au droit d’asile toutes les personnes dont les ingérences françaises à l’étranger ont créé leur problème (par exemple, les interprètes en Afghanistan ou les interventions en Syrie ou au Sahel).
Ce ne sont que de maigres exemples de tout ce qu’il est possible de faire pour enfin contrôler l’immigration en France et les séparatismes fondamentalistes qui lui sont généralement liés. Pourquoi le pouvoir ne l’a-t’il pas fait ? Pour soigner ses bonnes relations avec des dictatures (pétrole, gaz, vente d’armes, achats de biens fastueux en France, aider ces pays à se débarrasser de leurs opposants), pour s’attirer les bonnes grâces électorales des communautés (voir M. Mélanchthon), pour ne pas faire de vague, parce qu’ils s’en foutent car ils travaillent pour un SLC, pour diviser pour régner, etc.). Mais il y a une raison profonde : tout faire pour ne pas nommer la réalité afin d’être tranquille, c’est-à-dire se contenter du laxisme et de la fuite en avant car « à long terme, nous serons tous morts ». Le politicard, alors, ne s’occupe que du court terme de sa réélection et non du destin à long terme de la communauté politique. Une bonne vie pépère et bien payée, une chiure de mouche dans l’histoire et tout politicard est content de n’exercer le pouvoir que pour un temps limité qui lui vaut une bonne retraite perpétuelle et sans poursuites judiciaires pour irresponsabilité. Oremus.